A travers les versets du St Coran , Dieu le tout puissant nous rappelle qu’il est le maitre de l’univers, et qu’il a créé une multitude de créatures vivantes afin de peupler la terre ; dans un premier temps l’Homme dans toute sa perfection, puis différentes espèces animales, les oiseaux et les insectes. Ces derniers représentent une grande variété mais seules 5 espèces sont citées dans le coran : l’araignée, la fourmi, l’abeille la mouche et le moustique. Leur rôle dans la préservation de l’écosystème et la protection de la nature en général est très important. Malgré leurs petites tailles, Dieu les a dotées d’une intelligence remarquable que les chercheurs ont découvert en étudiant leurs modes de fonctionnement et leurs organisations sociales.
Il y a plus d’un an, nous avions publié sur ce site, deux articles parlant de l’abeille. L’un s’intitulait : "les merveilles du miel" et l’autre : "couleurs de miel". Nous venons tout juste de publier un autre sur les araignées sous le titre : "La demeure la plus vulnérable". A présent, et après une brève introduction sur.les insectes qui tournent autour de nos têtes, nous allons vous parler du "Royaume des fourmis", que nous foulons inopinément sous nos pieds. Commençons d’abord par projeter sur ces "nobles" insectes quelques rayons coraniques, pour voir pourquoi le Livre d’Allah les a spécialement cités.
Allah Le Suprême dit : "Ceux qui adoptent des divinités autres qu'Allah, ressemblent à l'araignée qui érige une demeure ; mais, savez-vous, la demeure de l'araignée est la plus fragile ; si seulement ils le savaient". (S29- V41)
En effet, c'est un grand Verset que les savants ne cessent d'en découvrir les secrets scientifiques. Nous allons y trouver des vérités par lesquelles, le Saint Coran réfute les allégations de tout athée qui prétendrait que le Coran est parole humaine.
Nous allons voir que la demeure de l'araignée est effectivement la plus vulnérable dans la nature, non seulement par sa construction, mais également par la vie sociale qu'elle abrite.
Si Allah a mentionné la datte ou son arbre plus de 20 fois dans son Livre sacré, c’est qu’il s’agit d’un fruit exceptionnel autant sur le plan nutritif que génétique et écologique. Avant de voir ce qu’en dit le Coran, voyons ce que les scientifiques y ont découvert comme bénéfices. Et si on commençait par se raconter un peu de son histoire ?
Lorsqu'Allah jure par l'une de ses créatures, c'est qu'elle revêt une importance particulière. Cette importance s'accroît, lorsqu'elle renferme un secret resté inaccessible à l'humanité pendant des siècles et que la science moderne vient de mettre au grand jour.Dans le domaine des mers et des cours d'eaux, ces merveilles sont nombreuses ; il suffit de se reporter à notre lexique scientifique Dans le présent article, nous allons examiner l'une d'elle ; il s'agit d'un phénomène sous-marin que personne ne soupçonnait avant le début du XXèmesiècle ; le Coran l'a mentionné il y a plus de 14 siècles ! En effet ce n'est qu'après la construction des sous-marins de profondeur au lendemain de la guerre mondiale, que les scientifiques ont réussi à descendre à des profondeurs supérieures à 4000m qu'on a pu voir et photographier ce qui est convenu d'appeler aujourd'hui : les volcans sous-marins.Voyons d'abord comment le Coran a-t-il fait allusion à ces volcans sous-marins : « Je jure par le (Mont) Tor, par un livre écrit en lignes sur un parchemin déployé, par la Mosquée peuplée, par le plafond surélevé, et par la mer embrasée, le châtiment de ton Seigneur tombera sans doute ! » (S52-V1/7)Dans ce groupe de Versets Allah jure par des le Mont Tor sur lequel Il s'est révélé et a adressé sa parole à Moïse (AS), par la Mosquée peuplée qui serait Al-Qouds à Jérusalem ou la Kaaba à la Mecque, et le plafond surélevé ou érigé qui serait le ciel, selon les exégètes. Disons au passage que cet ensemble cohérent du sermon divin, constitue une merveille historique du Coran qui a précédé les dernières découvertes archéologiques en Egyptologie et sur l'histoire de Moïse.Pour en savoir plus, vous pouvez vous reporter au recueil historique "La Perle et la Braise" de Mohamed Messen (Ed. Publibook).Quant à la "Mer" embrasée, le Coran utilise ici la forme adjective au singulier ; ceci suggère que la mer est actuellement embrasée. Dans les lignes qui vont suivre, nous verrons ce que les dernières découvertes ont révélé.