Nous recevons régulièrement, de la part des sites partenaires en langue arabe, des articles sur ce que les moyen-orientaux appellent, par erreur d’ailleurs, "L’Ijaz scientifique du Coran et de la Sounna". (Ijaz signifiant Défi). Allah défierait l’humanité, de posséder plus de sciences que lui ! C’est impensable n’est-ce pas ? Allah nous défie de pouvoir créer, d’apporter un Coran semblable au Sien, dix Sourate, une Sourate, c’est-à-dire un chapitre. Mais, il n’a jamais parlé de sciences, car l’homme le plus scientifique n’a jamais prétendu savoir plus que celui qui lui a donné un cerveau et des connaissances ! 

La perfection de la parole révélée se manifeste, sans doute, dans son message universel, un message clair et parfaitement compréhensible par tous, soit-on intellectuel, spécialiste ou le plus commun des mortels. Chacun peut saisir son sens selon ses capacités.  Ainsi, Allah s’adresse à l’humanité à travers les âges et les civilisations. Il incite tout un chacun à réfléchir sur ses signes, à méditer sur la grandeur de sa création, à découvrir les règles et les lois de la nature en vue de les exploiter à son profit, dans la limite du permis et du bien-être de tous. 

Le grand prédicateur Amr Khaled raconte l’aventure d’une reine de beauté vénézuélienne en disant :
Au cours d’une émission sur LBC (Chaîne libanaise), j’ai parlé de la « Pudeur ». Quelques jours plus tard, je reçois un courrier électronique d’une fille qui disait :
″Je m’appelle Sarah ; mon père est musulman libanais et ma mère chrétienne libanaise. Nous avons émigré au Venezuela. Après quelques années, mes parents se sont séparés et se sont remariés chacun avec un partenaire qu’il avait trouvé mieux. Je suis restée alors seule, perdue et complètement désorientée. Allah m’avait dotée d’une beauté rare et j’ai glissé vers la séduction et les concours des reines de beauté. Ceci m’a conduit vers les bars où j’ai commencé à travailler et où j’ai fait la connaissance d’un garçon. J’ai oublié ma religion, ou plutôt j’ai oublié que j’étais musulmane. De l’Islam, je ne me souvenais que de son nom, et du Coran me rappelais que de son écriture.
Un jour, je regardais LBC ; c’était une chaîne libanaise que je suivais de temps à autre.
Je vous ai vu alors Mr Amr ; vous parliez de la « pudeur ». Pour la première fois, j’ai ressenti ce que l’on appelle la « honte ». Je me suis rendue compte que je n’étais en fait qu’une marchandise de bas prix, entre les mains de souteneurs. Après la honte, j’ai senti un grand soulagement ! Ne connaissant ici aucun Musulman, je me permets de vous écrire et de vous demander :
Est-ce qu’Allah m’accepterait, alors que je suis noyée dans les pêchés et les abus ?″

BARRIERE ENTRE LES DEUX MERS : Nous voyons, dans cette photo, une zone appelée isthme, qui sépare deux mers salées. Les savants ont trouvé qu’elle possède des caractéristiques différentes de celles des deux mers qu’elle sépare. Ils ont prouvé, en outre, que les propriétés physico-chimiques des deux mers séparées sont également différentes de l’une à l’autre. Malgré cette confluence entre les deux mers leurs eaux n’ont pas perdu leurs propriétés, l’isthme constituant une barrière ! La découverte de ce phénomène n’a eu lieu qu’à la fin du siècle passé !Gloire à Allah qui nous en a informés avec précision il y a plus de quatorze siècles :    « Il a donné libre cours aux deux mers pour se rencontrer; il y a entre elles une barrière qui les empêche de s’altérer. Lequel donc des bienfaits de votre Seigneur nieriez- vous?» (Ar-Rahmane – 19 à 21)